ABOUL-FAZEL, écrivain persan du XVIe siècle, fut grand vizir de l’empereur mogol Akbar, et fut assassiné en 1604 par l’héritier du trône, jaloux de son crédit. À son retour il fut élu membre du Conseil des Cinq-cents. Le premier hautbois joue du cor anglais, mais son instrument est très-faux. Volontiers, quelle est notre fortune ? « Être introduit à la connaissance de l’Europe littéraire moyennant l’organe aussi puissant que celui de votre plume d’or et de soie », – lui écrivait-il dans son style assez exotique, le 17 décembre 1842, en réponse à sa lettre du 15 décembre dans laquelle elle le priait de lui communiquer des extraits de son livre, – « est un avantage, une illustration, vous le savez vous-même, que tout amour-propre ne saurait assez ni briguer, ni mériter… Ces enfants qui n’ont droit, en fait de couleurs, qu’à celles de la Vierge Marie, peuvent, sans abus de confiance métaphorique, signifier tout ce qu’il entre de restrictif dans l’idée de vocation, puisqu’elle est non la chance d’aller à quelque point de nouvelles vues, par un chemin modeste, mais l’interdiction de regarder hors de ce chemin, qui, d’ailleurs, se termine toujours en cul-de-sac
Le troisième m’était complétement inconnu ; c’était un démagogue ambulant qui avait été l’un des meneurs les plus actifs du dernier meeting, et se servait des deux autres comme d’aveugles instruments. Si le voyageur a déjà été peu édifié des détritus de la marée, que les flots n’ont pu enlever, gisant le long du bord, je ne l’engage pas à pénétrer dans les usines de pêche. Il n’y a pas une femme. Au Sénat, Bérard incarnait avec flamme, originalité et invention le meilleur de la République, un mouvement, une liaison, un dialogue entre trois visages de la République, que j’appellerai République des procureurs, République des professeurs, République des idées. Couronnez l’édifice par une écrevisse, une truffe et une crête de coq. Le « poids net égoutté », correspond au poids des pelures de truffe cuites sans le jus contenu dans le bocal. Ajoutez une louche à la fois de bouillon tout en laissant le temps au riz d’absorber le jus. Le temps passé vous en fournira en abondance, tout comme je me flatte que vous en trouverez encore dans l’avenir. Le valet entra dans le château et revint bientôt suivi du comte lui-même
Mais mon meilleur souvenir d’oranges me vient encore de Barbicaglia, un grand jardin auprès d’Ajaccio où j’allais faire la sieste aux heures de chaleur. Fondue aux truffes à bord d’une calèche… La seule chose à faire pour que les plantes poussent bien est de contrôler la croissance des mauvaises herbes, ce qui se fait en désherbant ou en permettant aux moutons de brouter la culture, car ils ne mangent pas la plante. De plus, avec le temps, lorsque la plante s’est bien développée, elle empêche elle-même les mauvaises herbes de pousser, de sorte que ce contrôle ne serait pas nécessaire. Pendant le dîner elle m’accable de mille adorables câlineries, en disant de temps en temps : «Il a quelque chose ! Comme vins, on servit tout le temps de la tisane de champagne frappée, du bordeaux blanc et du bordeaux rouge. Je ne puis y voir d’autre raison, si ce n’est que les tenanciers mécontents étaient environ deux mille
Les truffes du désert sont généralement des symbiotes des plantes du genre Helianthemum, mais elles peuvent aussi se trouver en symbiose avec d’autres genres, comme Avena ou Pinus. Bien qu’il existe plusieurs espèces de truffes de ces truffes, la plus couramment utilisée pour la culture est l’espèce Terfezia claveryi, en symbiose avec la jarilla (Helianthemum almeriense). De plus, les fleurs de la jarilla sont très attractives pour les abeilles et autres insectes pollinisateurs, leur présence contribue donc à une augmentation de la biodiversité après à une meilleure pollinisation des nouvelles cultures. Bien qu’elle semble être une culture très simple, cette culture ne nécessite qu’environ 200 litres d’eau par mètre carré et par an, ce qui est très peu. Mais comment oser comparer un cheval, de toutes les créatures la plus candide, à un être que les spasmes de sa pensée et les affections de ses organes rendent par moments plus prudent que le Servite Fra-Paolo, le plus terrible Consulteur que les Dix aient eu à Venise ; plus dissimulé qu’un roi ; plus adroit que Louis XI ; plus profond que Machiavel ; sophistique autant que Hobbes ; fin comme Voltaire ; plus facile que la Fiancée de Mamolin, et qui, dans le monde entier, ne se défie que de vous
FUCHS (Léonard), médecin et botaniste, né l’an 1501 à Wembdingen (Grisons), mort en 1566, professa la médecine à Ingolstadt et à Tubingue. Il a laissé un grand nombre d’ouvrages en latin sur la médecine et sur la botanique, qui ont contribué à la renaissance de ces deux sciences. « M. de Chozanne, Conseiller de la Cour des Aides, qui s’occupe beaucoup d’agriculture dans son domaine près de Briare, plante ses Pommes de terre dans un terrain de sable un peu frais ; il y fait donner deux labours, et fait répandre le fumier au troisième ; il fait jetter les Pommes de terre dans des sillons faits avec la charrue et éloignés de 3 pieds les uns des autres, et il fait mettre chaque Pomme à 7 à 8 pouces de distance dans le sens des sillons ; ensuite on rabat, avec les mains, un peu de la terre du sillon sur les Pommes. Éloi Magnan, 1549. Fuchs combattit la fâcheuse influence des médecins arabes et ramena ses contemporains à l’étude des observateurs grecs ; il rencontra de nombreux adversaires, entre autres J. Cornarius, qui écrivit contre lui Vulpecula excoriata (le Renard écorché), faisant allusion à son nom de Fuchs, qui veut dire renard